Camille est vêtu d’une somptueuse robe longue de couleur violette, cintrée par un corset renforcé d’éléments de cuir sombre ou d’acier léger, offrant à la fois style et protection. Cette tenue, loin d’être un simple ornement, incarne la fusion parfaite entre force martiale et expression personnelle. Elle souligne son identité affirmée, celle d’un homme qui n’a pas besoin de renoncer à sa grâce pour brandir une lame.
Les cheveux et la barbe chatain courts, les muscles dessinés par l'entraînement.
Le regard qu’il porte n’est ni provocateur ni distant — il est déterminé. Camille ne cherche pas à choquer : il affirme, impose, inspire. Il est la preuve que l’honneur, la force et la beauté peuvent cohabiter dans une même silhouette.
Il affirme son propre style vestimentaire, bien loin des tenues portées par le reste des hommes. Robes, chaussures à talons...
Charismatique sans être bavard, Camille séduit par sa prestance, pas par ses mots.
Fier mais solidaire : il aide toujours ses camarades blessés en premier.
Fidèle à ses valeurs : l’expression de soi est sacrée ; il n’accepte aucun compromis sur son apparence ni sur sa manière d’aimer
Né dans une petite communauté rurale du Taldor, Camille n’a jamais trouvé sa place parmi les carcans rigides d’un monde qui lui dictait comment un homme devait être, s’habiller, marcher, parler. Tandis que ses camarades se rêvaient soldats ou magistrats, Camille apprenait à manier l’épée… tout en ajustant les ourlets de ses propres robes.
Dès l’adolescence, il s’impose comme un prodige du combat rapproché. Mais ce qui le distingue le plus n’est pas sa force brute, c’est son élégance martiale : une précision chirurgicale, une grâce fluide dans les mouvements, et un regard impitoyablement assuré. Il s’entraîne au maniement de deux lames, inspiré autant par les duellistes d’élite que par les danseurs de scène. Son style — mêlant brutalité et chorégraphie — commence à faire parler de lui.
Après avoir quitté sa province, Camille entame un périple à travers l’Andoran et l’Isger, offrant ses services comme garde du corps, soigneur de caravane ou champion local. Mais ses objectifs sont plus ambitieux.
Camille rêve d’intégrer une guilde de mercenaires à Absalom, non pour la gloire pure… mais pour faire partie de quelque chose de plus grand. Il veut une famille de guerriers atypiques, un espace où sa façon de se battre — et de se présenter — serait non seulement acceptée, mais célébrée.
Camille veut faire ses preuves, enchaîner les contrats, affiner sa légende — et surtout, démontrer que le style peut être une arme aussi tranchante que l’acier.