Farah est une fille aux traits orientaux, elle a les yeux sombre en amande et porte les vêtements typique de son pays. De nombreux bijoux en or sont visibles dans ses cheveux, ses bras ou en pendantif sur ses vêtement. Elle porte un maquillage traditionnel Thuvien.
Des yeux sombres en amande, des tatouages à l'encre rouge faisant penser à des Aiudara (portails elfique) et une carrure fine.
Le maquillage omniprésent sur son visage et ses bijoux en or.
Un manque d'assurance flagrant et plutôt timide, mais une volonté de bien faire et d'assumer ses convictions.
La corruption des hommes est un fardeau que Golarion porte, elle se doit de tout faire pour la purifier.
Kyuubi est une de ses premières amie, elles partagent toutes deux la foi envers Sarenrae.
Synemnor est un modèle pour elle, elle boit ses mots comme une plante boit l'eau de la terre.
Cadette d'une famille de 12 enfants, Farah est née à le 20 de Sarenith à Mérad, bien après que ses parents furent obligés de quitter leur petit village pour acheter une maison plus grande à la capitale. Ali, son père et Bast, sa fabuleuse maman. Plongée très tôt dans la manipulation du bois par son charpentier de père, elle se passionna pour cet art et la construction des bateaux, l'entreprise marchait bien et les enfants ne manquaient de rien. Elevée dans la foi de la sainte lumière, Sarenrae est pour sa famille un culte vital, tous l'aime du plus profond de leur coeur, l'ainé des fils porte d'ailleurs le nom de Saren en hommage à leur déesse.
Fille intelligente et engagée, elle chercha un moyen d'aider ses parents et trouva dans la magie un moyen d'assurer une productivité efficace à la famille Belzin. A 16 ans, elle parti faire ses classes à l'académie de Pashow, seule mais déterminée.
C'est au cours de sa première année d'absence qu'une association de marchand appelé "La triade écarlate" commença à s'installer à Mérad et à anéantir les autres commerces qui ne souhaitaient pas les rejoindre. Ali Belzin n'eut d'autre choix que d'accepter de travailler pour eux, en échange d'un bon traitement de sa famille, mais la réalité on ne peut plus atroce pour Farah lorsqu'elle reçu la lettre de sa mère. Ses soeurs avaient été vendu par ces membres de la triade écarlate et dispersées dans tout le Garund au profit des maîtres de ces esclavagistes, et ses frères réduit à l'esclavage dans des bases d'opération Katapeshiennes. Le choc fût trop grand pour sa vieille mère, qui tomba gravement malade, et les fonds de la famille n'étaient plus suffisant pour payer les soins, rendu excessivement cher dû à l'influence de la triade écarlate dans la ville.
A peine sa première année achevée, elle s'empressa de revenir chez elle pour constater avec atrocité la véracité de la lettre. Ali lui ordonna de partir loin, car il avait réussi à cacher son existence aux esclavagistes, cela lui brisait le coeur de perdre sa dernière fille, mais c'était pour son bien.
"Port-Enigme !" Lui avait-il dit. "Un bateau de commerce part ce soir, prend cet argent et fait taire les curieux, tu y trouvera une guilde d'aventurier, rejoint les et apprend avec eux, tu es la seule qui puisse nous libérer ma fille, je t'en supplie, ne loupe pas ce bateau et part maintenant."
Les aux-revoir furent bref, sa mère alors endormi, elle n'osa pas lui déchirer plus le cœur et parti sur le navire, laissant derrière tout un peuple pour une vie de dangers qu'elle n'avait pas demandé, mais que son père lui, connaissait si bien.
Farah eut du mal à se faire une place les premiers jours, son manque d'assurance et sa peur de blesser autrui fût un handicape, bien qu'elle trouva en Synemnor un symbole de courage et de confiance. Durant ses quelques missions, elle se rendit compte que le mal n'était pas installé qu'à Mérad et que la corruption des ténèbres étaient partout. Sa peur se transforme doucement en haine envers les âmes mauvaises, et la flamme du soleil ardent des routes d'or s'allume dans son cœur, alors qu'elle commence à ressentir l'envie d'un monde sans misère, purifié par les flammes de Sarenrae.