Kelek

Apparence

Description physique générale

De grande stature, la peau verte, l'héritage de Kelek st visible par tous.  Des cicatrices pâles parsèment son corps et se dressent en témoin de la violence qu'il a connu.

Corps et visage

Un regard déterminé et la colère figé sur son visage délivrent un message clair : il n'est pas là par plaisir.

Signes distinctifs

Une paire d'ailes rouges tatouée sur le crâne. Une de chaque côté de sa crète.

Histoire

Origine

Kelek a passé sa vie parmi les orcs, dans un village à la frontière de La Forteresse de Belken et du Dernier Rempart. Son héritage humain et sa stature « frêle », selon les orcs,  lui ont valu de passé la première partie de sa vie en tant qu’esclave auprès du guérisseur du village. Sa vivacité d’esprit (toujours comparée à ses congénères) lui a permis de devenir apprenti, et de gagner sa liberté.

Ces derniers mois, une voix a commencé à raisonner dans la tête du demi-orc, lui intimant de venir la servir, qu’il pouvait accomplir beaucoup plus… Mais Kelek, croyant à un démon, a ignoré les appels de la Pierre. Alors qu’il accompagné un raid en tant que guérisseur, Kelek reçu une vision. Son village en flamme. Une créature cauchemardesque détruisant tout. Sa femme succombant aux flammes, son fils dans les bras. Alarmé par la vision, peu importe sa source, il intima les guerriers de faire marche arrière. Il supplia. On l’ignore. Kelek décida de rentrer seul pour empêcher la catastrophe. Mais il arriva devant un village en cendre. Et de l’autre côté, un portail en train de se refermer… Aucun survivant…

Après plusieurs semaines passées dans une profonde torpeur à attendre le retour des guerriers, Kelek se rendit compte qu’ils ne reviendraient pas. Ils étaient morts. Et une réalisation le frappa : il était le dernier du clan. Des larmes coulant silencieusement le long de ses joues, le demi-orc ramassa une arme et, à genoux sur les cendres de son village, demanda à Ragathiel, Général de la Vengeance, de lui accorder la force de mener à bien la sienne en échange de sa vie. Et, peut-être parce que l’arme que Kelek tenait était une épée bâtarde, peut-être parce que sa cause était juste, ou peut-être parce que le dieu comprenait le demi-orc, il lui accorda sa bénédiction.

La pierre lui offrirait, quant à elle, le moyen de retrouver la créature responsable du carnage…