Individu humanoïde de sexe masculin au vu de la corpulence, taille moyenne, élancé avec une façon de se mouvoir très militaire.
Quand il ne porte pas son masque à gaz, Scarvyn est un elfe à la peau pâle et aux yeux gris. Cheveux court style militaire plaqués en arrière, il porte d'étranges marques sous les yeux semblables à des peintures de guerre ou des marques de clan.
Au niveau de sa jugulaire droite recouvert par sa tenue une large et profonde cicatrice faite à l'aide d'une arme tranchante.
L'individu en question porte des vêtements sombres semblables à une tenue militaire d'Alkenstar, un masque à gaz aux larges lunettes rondes ayant un petit peu de vécu mais remarquablement bien entretenu, il porte également un casque en métal atypique.
Calme voir froid dans sa perception du monde, Scarvyn est une personne qui se laisse rarement impressionner. Cordial dans beaucoup de ses échanges, ils parle peu mais toujours de façon efficace.
Scarvyn est l'enfant non désiré d'une femme de joie des bas quartiers et d'un client quelconque. N'ayant ni les moyens ni l'envie d'élever un enfant, sa mère vendit son fils pour quelques pièces d'or à un ancien médecin militaire elfique connu sous le surnom du "Caporal". Ce dernier avait pour habitude de prendre sous son aile des orphelins et des enfants des rues, une pratique qui offrait une solution facile pour se débarrasser de l'enfant.
Le Caporal enseigna à Scarvyn, ainsi qu'à d'autres enfants, l'art de la médecine et celui de la guerre, les regroupant souvent par paires pour les habituer à travailler ensemble. Pendant sa formation, le jeune elfe assistait le Caporal dans les soins qu'il prodiguait à d'anciens soldats et vétérans oubliés de la société, à qui le généreux médecin offrait ses services gratuitement.
Lorsque les enfants devinrent des adultes, le Caporal les invita à quitter son office et à voler de leurs propres ailes. Quand ce fut au tour de Scarvyn, celui-ci accepta sans hésitation. En guise de cadeau de départ, il reçut des outils de médecin ainsi qu'un large couteau de tranchée. « Une arme pour soigner et l'autre pour tuer : le parfait équilibre », lui rappela le Caporal. Des dernières paroles simples mais marquantes.