Jeune humain approchant tranquillement de la trentaine, c'est un individu de taille moyenne athlétique originaire du Tian-Xia de part ses traits physiques ainsi que son équipement.
Tempuro est un humain de taille moyenne à la peau blanche et entretenant rigoureusement son corps. Celui-ci possède des cheveux noirs mis-long en queue de cheval ainsi de petits sombres acérés.
Aucun signe distinctif à relever.
Le Tianais porte un O-Yoroi sombre accompagné d'un mempō représentant un visage d'Oni. À la ceinture, il arbore fièrement un katana, mais pas de wakizashi, tandis qu’un daikyū est accroché dans son dos.
Tempuro est un observateur curieux , un petit peu à la manière d'un corbeau observant silencieusement son environnement. A la différence de ces génies de la nature, il n'est pas très joueur mais reste totalement abordable que cela soit pour des banalités ou bien des conversations plus profondes. Sa franchise est, par moment désarçonnante quand on ne connait pas très bien l'individu.
Devenir suffisamment puissant et sage pour retourner dans son pays natal afin pour rendre fier son père et sa mère.
Oagwa Chimikami : Mère.
Takakuwa Sozen : Père.
Nagai Itomen : maître-d'arme
Tempuro est le fruit de l'union entre une servante et un samouraï du Tian-Xia : un bâtard. Bien que son père aimait sincèrement sa mère et l'ait reconnu comme son fils légitime, le seigneur auquel son père avait prêté allégeance refusa d'intégrer un bâtard à sa cour, l'empêchant ainsi de devenir samouraï. Cependant, il autorisa le père à éduquer son fils. Ainsi, le jeune Tempuro reçut une éducation bien différente de celle d'un paysan. Il eut même l'honneur d'avoir deux maîtres : son père et un ami de ce dernier, un puissant demi-orc qui veillait sur eux lorsque le seigneur envoyait son père en mission.
À l'adolescence, les rêves de gloire envahirent l'esprit de Tempuro, mais il souhaitait surtout rendre ses parents fiers. Cependant, sa condition et son rang l'empêchaient de dépasser certaines limites. L'ami de son père lui parla alors d'une guilde de mercenaires renommée où de nombreux héros avaient fait leurs armes. Sa première épreuve fut de convaincre ses parents de le laisser partir, la seconde de se rendre à cette fameuse guilde située à Absalom.
Les négociations concernant son départ furent complexes, particulièrement pour sa mère, qui ne voulait pas voir son fils unique partir à l'autre bout du monde. Son père, quant à lui, était partagé : il comprenait le désir de gloire qui animait son fils, mais il était également attristé à l'idée de le voir quitter le nid, gardant de lui une image encore enfantine. Ce fut l'ami de son père qui insista pour qu'il découvre le monde et tente sa chance à Absalom. C'est probablement grâce à lui que ses parents acceptèrent de le laisser partir.
La traversée jusqu'à Absalom fut longue, très longue. Les épreuves qu'il rencontra en chemin lui permirent d'acquérir une certaine expérience des combats, encore insuffisante pour être qualifié de grand maître du sabre, mais suffisante pour survivre et arriver en un seul morceau à la guilde de Ravel.