Profil Joueur

Theoria Arcanis

Apparence

Description physique générale

Theoria Arcanis, a l'apparence d'une elfe à la chevelure blanche et aux yeux à la sclérotique noir et l'iris grise, elle dispose d'une silhouette frêle et élancé.

Corps et visage

Ses yeux gris très inexpressifs sont quelque peu perturbant. Pourtant, elle arbore souvent une expression plutôt affable surtout lorsqu'il s'agit de parler de magie.

Signes distinctifs

Ses yeux pâles et vides sont sans doute les seules indices concernant sa nature d'objet vivant.

Tenue et accessoires

Son équipement est toujours très propre et bien entretenu.

Personnalité

Caractère

Theoria est une créature très rationnelle et curieuse.

Motivation

Atteindre les sommets de la magie.

Transformer la solitude qui l’a éveillée en quête de lien durable.

Comprendre les sociétés humaines.

Relations

Hùdùn : 
Premier compagnon de route, premier protecteur, Hùdùn est une des personne qui lui est le plus chère.
Elle a l'impression de toujours l'avoir connu. Et elle heureuse d'avoir fait le choix de le retrouver.

Glorfindel :
Cet elfe lui rappel un peu Hùdùn par certains aspect, sa naïveté, sa bravoure, son optimisme. 
Le rôle de protecteur qu'il endosse vis à vis de sa "soeur" la touche particulièrement.
Elle l'apprécie pour la personne qu'il est.

Siggeir :
Cette humaine, lui ressemble par quelques aspects, réservé, discrète, pas la plus doué lorsqu'il s'agit de mené une conversation, mais avec un esprit acérée quand il le faut. De toute les personnes qu'elle a croisé, Siggeir est sans doute la personne avec la personnalité la plus proche de la sienne ce qui lui permet de se sentir plus à l'aise en sa présence et développé de réelle moment de complicité, un sentiment qu'elle chéri beaucoup.

Histoire

Origine

Theoria Arcanis est un grimoire qui a été fabriqué il y a bien longtemps dans la ville de Hokkôshi au Minkai.
De la première goutte d'encre qui a imprégné ses pages à son éveil il s'est passé un peu plus d'un millénaire.

Durant ces innombrables années, ce grimoire est passé entre les mains de nombreux mages plus ou moins talentueux, ajoutant chacun leur pierre à l'édifice, gravant en elle leur passion pour les arts arcaniques. 
Ces premiers souvenirs sont flous, des pages qui tournent, une plume qui gratte, le tracé d'un cercle, difficile à savoir lequel est arrivé en premier. 
Ce qui est sûr, c'est qu'il y a eu un changement, la fréquence à laquelle les pages étaient tournées n'était pas la même, la pression sur la plume avait changé, les symboles inscrits étaient composés de formes différentes. 

Chaque mage est différent. Certains ne notent que le strict nécessaire, d’autres multiplient les ébauches qu’ils raffinent au fil de leurs essais. Mais tous sont unifiés dans leur passion pour la magie et leur désir de dompter les secrets des arcanes. Cette passion a imprégné ses pages à travers les années, malgré les déchirures, la reliure qui a été refaite à de maintes reprises, le grimoire se nourrissait des incantations écrites, de chaque symbole ajouté, de chaque cercle tracé. 

Le grimoire a voyagé, d'abord à travers le Minkai, puis finalement à travers le reste du Tian Xia, passant dans les mains de tengus, d'elfes, d'humains, tombant au cours de combats, puis se retrouvant dans les mains d'une autre personne, parfois même finissant dans des bibliothèques à accumuler la poussière. 
La solitude, l’ennui peut-être vaut-il mieux ne pas avoir de conscience que d’endurer cela éternellement. C'était peut être une nécessité pour développer sa conscience encore plus, pour ressentir l'omniprésence de la magie en ce monde. D'autres grimoires, des gemmes, et plein d'autres objets magiques. Certains immobiles, d'autres en mouvement.
Un jour ce sera à son tour d'être en mouvement. 

Ce jour est venu, le grimoire a ressenti des mains se poser sur sa reliure, des mains délicates, des doigts fins. La sensation de sortir de l'étagère, d'être pressé contre la poitrine d'une aventurière, une novice? Non, une experte, de l'assurance dans ses tracés, une lecture attentive mais rapide sur le travail de ces prédécesseurs.
Le grimoire ressentit de la joie d'être enfin de nouveau dans les mains d'une arcaniste, d'une personne qui saurait l'utiliser pour comprendre un peu plus les secrets de la magie.

Hélas, la joie ne fut pas éternelle, un jour alors qu'autour une grande quantité de magie éclatait dans tous les sens, certainement un combat, l'impensable arriva. le cuir du grimoire s'écrasa contre le sol, et la main qui l’attrapa n'était pas celle à laquelle le grimoire avait été habitué, c'était une grosse main caleuse qui l'a promptement rangé dans un sac. Certaines choses ont une fin.

Le grimoire finit par se retrouver dans une boutique à Goka où résidaient de nombreux objets magiques, notamment un bouclier qui semblait beaucoup l'intriguer, qu'est-ce qu'il avait de différent? Difficile à dire. 

Il fut acheté par la même personne qui prit le bouclier, malheureusement pas un mage, mais le grimoire était de nouveau en mouvement, bientôt il aurait un propriétaire, il serait de nouveau entouré de magie, il pourrait de nouveau avoir une personne qui lui écrirait, qui lui donnerait de quoi réfléchir, qui le sortirait de sa solitude, avec de la chance un mage puissant qui ne serait pas vaincu si facilement.

Le grimoire se retrouva effectivement dans les mains d'un mage à nouveau. Une mage du Dernier Rempart. Elle ne durerait pas longtemps cependant.


En 4719, Tar-Baphon se libéra de sa prison en détruisant la ville de Vigil grâce à son arme le Feu Radiant. La puissance incroyable de son arme eut raison de son propriétaire qui mourut sur le coup, mais alors que le désespoir s'empara du grimoire face à la promesse de solitude résultant de la perte de son mage, il se passa quelque chose d'étrange. Le grimoire s'éveilla.

Pour la première fois elle prit une forme quelque peu humaine, sa peau était faite de papier, sa chevelure d'encre. Elle se dressa devant son dernier détenteur. C'était une elfe aux traits fins, à la chevelure blanche, ses yeux absents de toute vie. Une goutte d'encre roula le long de sa joue. Elle l'essuya, ressentant pour la première fois la sensation de son propre toucher sur sa peau. 

Elle erra un moment découvrant son corps frêle, la sensation de se mouvoir toute seule et de voir le monde, d'expérimenter ses nouveaux sens. Puis elle se figea. Son regard de nouveau posé sur l'elfe sans vie.

Alors qu'elle observait le résultat d'une fin brutale et le début d'un nouveau chapitre dans sa vie, Elle prit conscience qu'elle était seule mais pour la première fois capable de prendre son destin entre ses mains. Serait-elle capable de maîtriser les arcanes à son tour? Pourrait-elle réussir là où ses anciens propriétaires avaient échoué? Jusqu'où sera-t-elle capable d'aller?
Se concentrant sur l'elfe elle prit son apparence, dernier hommage à tous ces mages qui ont laissé une part d'eux en elle, dont elle porte l'ambition de comprendre l'incompréhensible, de dompter l'indomptable.

Elle erra un moment, puis croisa la silhouette d’une armure. Elle ressentit une étrange familiarité, et se risqua à aller à sa rencontre.

Elle trouva refuge sous sa protection et voyagea ainsi un temps, tout en se promettant de trouver un jour le moyen de devenir magicienne. L'armure était un être singulier, sa présence lui était réconfortante, au delà même de son assurance et sa volonté de la protéger, elle avait l'impression de le connaître depuis longtemps.

Arrivée à Almas, leurs chemins se séparèrent. Lui semblait vouloir continuer au-delà de l'Andoran, tandis qu’elle ressentait le besoin de trouver de quoi lire et écrire pour coucher sur le papier la théorie qui lui trottait dans la tête, voire même des souvenirs de ce qui avait été inscrit en elle.

Ce n'était pas simple pour elle : malgré sa nature curieuse, elle n'avait pas la même assurance que l'Armure. C’est donc ce dernier qui l'amena voir un bibliothécaire et se chargea de le convaincre d’accepter de la prendre comme assistante. Lorsque le marché fut conclu, le bibliothécaire demanda au grimoire son nom. Un nom ? Elle n'y avait jamais songé, et pourtant, elle en avait bien un. À sa grande surprise, elle répondit naturellement : Theoria Arcanis. Puis, se tournant vers l’Armure, elle lui demanda à son tour son nom : Hùdùn.

Pendant une année entière, elle s’occupa des livres avec une attention presque religieuse, observant timidement les mages de passage, sans jamais trouver le courage de leur demander conseil pour développer sa propre magie. En échange de ses services, le bibliothécaire lui confia un grimoire qui deviendrait le sien : un épais volume qu'elle baptisa Clavis Arcanis.

Durant son séjour à Almas, elle rédigea plusieurs écrits. Parmi eux, elle s’essaya à la composition de son propre traité de théorie arcanique, intitulé "Sur la Mutabilité des Formules : Théorie et Pratique de la Substitution Arcanique." Cet ouvrage expose les principes fondamentaux permettant d’échanger certains composants lors de la préparation afin de transformer une incantation préalablement fixée en une autre.

Un beau jour, alors qu'elle s'occupait de la section occulte de la bibliothèque, le bibliothécaire lui tendit une lettre qui lui était adressée. Elle venait d'Hùdùn, qui avait rejoint Absalom. Là-bas, il avait trouvé ce qu'il cherchait et l'invitait à le rejoindre. Elle prit quelques instants pour réfléchir, mais ne tarda pas à se décider : l'appel d'Hùdùn depuis Absalom ne pouvait être ignoré. Après avoir remercié le bibliothécaire, elle se mit en route pour la cité au centre du monde.

Ravelien


Theoria a été sauvé par Sir Baldric un chevalier du dernier rempart de très haut rang qui s'est sacrifié pour qu'elle et ses compagnons puisse ramené un artefact au campement.

Le Crimson oath :
We swear with voices cold as death,                   Nous jurons d'une voix froide comme la mort,
While yet we stand and yet draw breath,           Tant que nous sommes debout et que nous respirons,
We shall not let the dead endure,                        Nous ne laisserons pas les morts perdurer,
Nor let them taint our lands verdure.                 Ni permettre qu'ils souillent la verdure de nos terres.
We shall not falter, shall not rout,                       Nous ne faiblirons pas, ne fuirons point,
But cut them down and burn them out,            Mais les abattrons et les réduirons en cendres ;
We swear on Vigil’s shattered walls,                   Nous jurons sur les murs brisés de Vigil,
Our Crimson Oath: the Tyrant falls!                    Notre Serment Pourpre : le Tyran tombera !

Card image
Race
Yaoguai
Genre
Feminin
Lieu de Naissance
Création : Hokkôshi, Eveil : Vigil
Taille
167
Poids
62
Peau
blanche
Cheveux
blanc
Yeux
gris pâle