Monde : La Tolnedrie
Hippolyte assit derrière son bureau, il est inquiet,
Il s’adresse à Hector (Son valet)
« J’attends une importante livraison de vin, et malheureusement le chariot à du s arrêter »
J’aurais dû le faire escorter, pense-t-il
L'inquiétude d'Hippolyte est rentrée en résonance avec la pierre de RAVEL à travers le lien créé par le portail vers la Tolnedrie. Comme une onde qui se retransmet, la pierre redirige sur vous cet appel.
(HRP : si tu as de l’humour, si tu aimes rigoler, si tu es agile, cette quête est pour toi, mais n’oublie pas que MJ est le seul maître à bord)
Joueurs :
Witch (2)
Ranger (3)
Champion (4)
Cleric (3)
Sorcerer (4)
Rapport :
A travers le portail, nous distinguons ce qui semble être les jardins d'Hyppolite ainsi qu'une météo très accablante.
Nous passons le portail, nos corps commencent à se métamorphoser.
Alors que nous voyageons à travers ce dernier, celui-ci est frappé soudainement par la foudre. Nous sommes ainsi téléportés autrepart. Sur place, nous avons le sentiment d'être mort et nous flottons au-dessus de nos corps comme si nous étions sortis de notre enveloppe charnelle.
Nos corps gisant au sol, ceux-ci paraissent avoir repris leurs apparences. Nous tentons de retourner dedans, malheureusement ils semblent hermétiques à notre retour.
Deux loups ainsi que des animaux s'approchent lentement de notre position. Nous découvrons que nous pouvons rentrer dans le corps des animaux tandis que les deux loups continuent à s'approcher de nos corps inanimés.
Les animaux "domestiques" ont clairement un aspect soignés, et certains possèdent même des objets.
Rakash rentre alors dans le corps du Perroquet, Dilza dans l'aigle, Saya devient un chat, Asmiate deviens à son tour un furet et Ungad s'incarne au final en chien.
Nous affrontons les loups afin de protéger nos enveloppes.
Le combat maintenant terminé, une question demeure alors dans nos esprits. Pourquoi la mission de livraison s'est elle interrompue ?
Ne pouvant retourner dans nos corps, et après avoir observés au loin un village, nous décidons alors de nous y rendre afin de chercher des indices pouvant apporter la lumière sur notre situation pour le moins préoccupante.
Une fois arrivés au hameau, l'aigle et le perroquet décident de se poster sur des toits afin d'observer les lieux tandis que le chat, le furet et le chien pénètrent dans un entrepôt.
Nous entrons dans l'édifice, et après une courte exploration, tombons sur un vieil homme qui semble parler à son corbeau domestique du nom d'Heckle.
En rentrant dans la salle où se trouve le vieillard, celui-ci repère le chien et donne un ordre auquel le canidé semble se plier sans pouvoir broncher. L'homme commence à parler et à dire que son maître Mike le cherche.
Le chien insistant de part sa présence, l'homme agé décide donc de le conduire à son maître. Le furet et le chat décident alors de les suivre.
Pendant ce temps, l'aigle observe un édifice en ruine avec un trou dans lequel se trouve une petite échelle. Celui-ci étant trop exigu, le rapace part et s'envole en direction de ses compagnons.
Le perroquet quant à lui, arrive sur le toit du poste de garde et découvre deux gardes dont un s'appellant d'Henry et étant accompagné d'un gros chien nommé Ouragan. Après l'observation, le perroquet reviens également vers ses compagnons.
Après avoir traversé le village, le chien emmené de force par le vieillard arrive devant ce qui semble être un bordel où son maître l'attend, nous observons qu'il est en colère et appelle soudainement le canidé : "Kiki au pied !".
Le chien n'a apparemment pas le choix de se soumettre à son maître. Pendant ce temps, les autres animaux, qui suivaient discrètement le chien, décident d'explorer les alentours du bâtiment.
Le furet se cache sous le chien afin de ne pas être détecté, tandis que ce dernier décide de suivre son maître au sein du bâtiment.
Le perroquet engage pendant ce temps une discussion avec un cheval qui lui explique alors qu'il tirait un chariot qui a subit une attaque. Malheureusement, il n'en sait pas plus sur la localisation des barils que tranportait le chariot. Nous apprennons aussi que les personnes en charge de la livraison ont disparus.
L'aigle ayant entendu la conversation ci-dessus, décide de s'envoler afin de voir s'il localise ces fameux barrils. Malheureusement, il ne semble pas les apercevoir.
Nous rencontrons divers personnages dont deux musiciens, ainsi qu'une serveuse et deux "danseuses". Nous découvrons qu'une de ces dernières est la maîtresse de Fantasme, le chat contrôlé par l'esprit de Morgane. Cependant, Morgane se retrouve face à un chat parfaitement identique à lui, et décide alors de quitter la pièce afin de ne pas lever des soupçons.
Nous sortons du bordel et nous dirigeons ensuite vers l'atelier. Nous rencontrons un forgeron en pleine réparation d'une roue de chariot, semblable aux trois roues restantes du chariot observé par le furet dans l'entrepôt, ainsi qu'une femme en train de s'occuper de documents.
Après cette découverte, le furet, le chat et le perroquet partent en direction de la tour en ruine et découvre au fond du trou des barrils de vin. Ils affrontent également une araignée qui frôle de tuer le petit mustélidé.
Par ailleurs, l'aigle et le loup se rendent à l'église. Sur place, le chien ayant un flair littéralement ineffiace, ne trouve aucun indice dans le cimetière et autour du mausolée. Tandis que l'aigle guette l'église et ses occupants, il voit alors un homme étrange sortir de l'édifice et n'ayant pas l'apparence d'un religieux. Celui-ci se dirige vers le bordel. Nous décidons donc le suivre discrètement.
Malheureusement, le maître du chien est assis devant l'entrée et semble garder la porte. Connaissant l'homme, le chien décide de rester à l'écart. L'aigle quant à lui, ne peut se permettre de tenter de rentrer dans l'établissement. Nous perdons l'homme suspect de vue.
Quelques minutes passent, et nos compagnons partis à la tour reviennent, nous informant ainsi des dernières nouvelles.
Nous décidons ensuite de nous rendre à nouveau dans l'entrepôt. Celui-ci est totalement fermé, heureusement, le furet crochète l'une des portes. Une fois à l'intérieur le chien renifle l'odeur d'humains ayant conduit le chariot. Il découvre alors deux odeurs distinctes. L'une d'elle nous dirige vers le mausolée, derrière l'église.
Le furet détache les chaînes fermant le tombeau puis nous nous enfonçons dans la pénombre. Au même moment, nous entendons derrière nous, à l'extérieur, une porte qui claque.
Nous progressons donc jusqu'à arriver dans des souterrains. Sur place, nous voyons un trou donnant sur le puit au centre du village. A quelques mètres de celui-ci, nous découvrons deux personnes ligotés et endormis, mais pas de manière naturelle.
Les bruits dans notre dos s'intensifiant, nous décidons de nous cacher. Nous voyons apparaître deux moines, une femme portant une matraque et un homme avec une épée courte. Ils étaient présent dans l'église.
Par un habile stratagème, le chien et le perroquet surprennent les deux moines puis fuient en direction de la sortie avec l'aigle ainsi que le chat. Le canidé esquive de peu les coups et réussit à fuir avec ses compagnons. L'homme le prend en chasse à l'extérieur tandis que la femme tente de fermer derrière eux les grilles du mausolée. L'aigle décide alors d'attaquer cette dernière afin de l'en empêcher.
Le perroquet, volant en direction du poste de garde à toute allure, réussit à simuler la voix d'une personne en détresse et attire le garde en poste avec son molosse.
L'affrontement commence et nous tentons de survivre à nos assaillants à l'aide d'Henry et d'Ouragan. Le molosse fera littéralement un carnage auprès de nos aggresseurs.
Nos assaillants vaincus, le garde découvre les deux hommes évanouis dans le souterrain. Leurs liens ayant été au préalable détachés quelques minutes auparavant par le furet resté sur place. Une fois révéillés et questionnés, le garde en conclus qu'il s'agissait alors des hommes conduisant le chariot attaqué par des brigands. Le chariot et la marchandise sera retrouvée, puis livrée comme prévu.
L'enquête résolue, nous quittons le corps des animaux, et retournons enfin dans nos enveloppes respectives.
La pierre étant satisfaite du résultat, nous sommes alors renvoyés à Ravel.
Nous pouvons à présent nous reposer, jusqu'à notre prochaine mission.
Fin du rapport.