Carmène est une femme de taille moyenne aux long cheveux argenté au regard impassible. Elle a une posture assez droite, mettant en valeur sa carrure, et lui donnant à la foi un air intimidant, mais aussi rassurant.
Carmène à la peau blanche, le teint pâle les yeux bleu-gris. Elle à une silhouette assez féminine malgré son armure de plaques, elle a cependant des épaules très développé, démontrant un entraînement rude et acharné. Elle reste malgré sa position de Championne plutôt bien maquillée et coiffée et met toujours beaucoup d'effort dans les détails.
Elle n'a pas de signe distinctif si ce n'est le teint de la peau pâle.
Armure noire avec des motifs rouges représentant respectivement les symboles religieux de Pharasma et de Saloc. Elle porte une Guisarme, arme de prédilection de sa divinité ainsi qu'un Serre-tête en forme de couronne.
Carmène est une femme plutôt calme, elle a la tête sur les épaules et applique les principes et concepts de sa divinité au pied de la lettre, Elle est plutôt du genre a garder le contrôle qu'importe la situation car comme elle le dit souvent "Le meilleur moyen de se protéger de la transformation en mort-vivant est encore de ne pas être mort."
Son passage à l’âge adulte fut marqué par un rêve étrange, qu’elle interpréta comme une vision : des âmes perdues lui demandaient de se rendre à Absalom, la cité au cœur du monde. Là-bas, elle sentit que sa destinée l’appelait à rejoindre la guilde de Ravel, une organisation réputée pour ses membres de tous horizons, cherchant à accomplir des missions diverses dans l'équilibre entre profit et vertu. Elle ne portait pas d’illusions sur son rôle : Carmène savait qu’elle n’était qu’au début de son chemin, et que chaque pas, chaque choix, façonnerait la championne qu’elle aspirait à devenir.
Carmène est née dans les quartiers modestes de Magnimar, au pied des imposantes ruines de l'Ancienne Arche, un vestige thassilonien qui dominait la ville. En tant que Duskwalker, sa naissance fut un événement rare et énigmatique. Les prêtres de Pharasma, qui supervisèrent son arrivée dans ce monde, interprétèrent son existence comme un signe de la déesse, un rappel de l’équilibre à préserver entre la vie et la mort. Cependant, pour Carmène, ces origines restèrent longtemps une énigme personnelle, qu'elle aborda avec humilité.
Durant son enfance, elle était fascinée par les récits des champions de Pharasma, mais un nom particulier revenait souvent : celui de Saloc, l’un des plus illustres serviteurs de la déesse. Saloc, connu pour avoir été un guide des âmes et un gardien farouche contre les forces du déséquilibre, inspira à Carmène une vocation qu’elle embrassa pleinement à l’adolescence.
Elle entra en apprentissage auprès des protecteurs du mausolée de Magnimar. Là, elle apprit les préceptes de Saloc : vigilance, impartialité et une force maîtrisée pour défendre les âmes en péril. Ses premiers pas furent modestes : elle gardait les tombes contre de faibles perturbations magiques ou accompagnait les prêtres dans des tâches rituelles simples. Ces débuts la préparèrent à des responsabilités plus vastes, bien qu'elle n'ait encore jamais affronté de dangers véritablement notoires.
Son passage à l’âge adulte fut marqué par un rêve étrange, qu’elle interpréta comme une vision : des âmes perdues lui demandaient de se rendre à Absalom, la cité au cœur du monde. Là-bas, elle sentit que sa destinée l’appelait à rejoindre la guilde de Ravel, une organisation réputée pour ses membres de tous horizons, cherchant à accomplir des missions diverses dans l'équilibre entre profit et vertu. Elle ne portait pas d’illusions sur son rôle : Carmène savait qu’elle n’était qu’au début de son chemin, et que chaque pas, chaque choix, façonnerait la championne qu’elle aspirait à devenir.
Son départ de Magnimar fut empreint de mélancolie mais aussi d’espoir. Accompagnée de maigres provisions et d’une foi indéfectible, elle embarqua sur un navire pour Absalom. Elle voyait cette étape non comme une quête héroïque, mais comme une opportunité d’apprendre, de grandir, et, peut-être un jour, de devenir digne de la mémoire de Saloc.