Dalia et une grande femme au physique musclée.
Elle a un visage fin assez jeune
A part ses cheveux qui sont noir/vert elle n'a pas d'autre signe distinctif.
Dalia peut être calme comme Impétueuse
Plutôt que de céder à la honte ou à la disgrâce, Dalia a vu cette expulsion comme une libération. Convaincue que la magie est une arme avant d’être un art, elle a décidé de poursuivre son apprentissage à sa manière. Son objectif n’est pas de prouver sa valeur académique, mais de démontrer que la puissance et la discipline peuvent rivaliser avec le prestige des grandes écoles.
C’est cette philosophie qui l’a menée à rejoindre la guilde de Ravel : un lieu où les actes comptent plus que les titres. Dalia espère y forger sa propre réputation, affiner sa maîtrise de la guerre arcanique et, surtout, montrer à ceux qui l’ont rejetée qu’elle n’avait pas tort — seulement trop d’ambition pour se contenter de suivre les règles.
Née au cœur d’Absalom, dans une famille noble respectée mais conservatrice, Dalia a grandi sous le poids des attentes liées à son sang. Alors que la plupart de ses pairs se consacraient à la politique, aux arts ou à la magie savante, elle s’est toujours montrée plus attirée par le bruit du métal et la rigueur du combat que par les bibliothèques. Très tôt, elle choisit de suivre une voie inhabituelle pour une magicienne : celle du Warmage, un mage en armure, formé pour le champ de bataille autant que pour la théorie.
Éduquée dans les cercles érudits d’Absalom, Dalia a étudié la magie élémentaire et les stratégies militaires sous la tutelle d’un ancien tacticien de la garnison, un mentor qui a su reconnaître son potentiel martial. Si elle comprenait la magie, elle préférait la vivre dans l’action plutôt que la disséquer dans les grimoires. Son franc-parler et sa tendance à remettre en question les méthodes de ses professeurs lui ont finalement valu d’être renvoyée de l’école de magie, après plusieurs affrontements verbaux et un duel “pédagogique” qui a dégénéré.