Drangor Tristemarbre

Apparence

Description physique générale

Robuste, cheveux poivre et sel, barbe entretenue et corps musculueux

Personnalité

Caractère

Qualités : Loyal, chaleureux, téméraire, jovial, obstiné.

Défauts : Tête brûlée, déteste les mages “trop sérieux”, sous-estime les malédictions anciennes.

Vertus : esprit de camaraderie, foi inébranlable, courage contagieux.

Devise personnelle : “Un rire vaut parfois mieux qu'une prière.”

Motivation

S'aguerrir afin d'accomplir différents objectifs : 

- Purger les cryptes inférieures de Janderhoff où rôdent des esprits anciens.

- Restaurer le prestige du clan Tristemarbre en forgeant des sépultures inviolables.

- Fonder un sanctuaire de Trudd dans une ancienne carrière, où la pierre et la foi se confondraient.

 - Cauchemar récurrent : les statues de marbre de ses ancêtres qui s’éveillent et l’accusent de les avoir oubliées.

Histoire

Origine

Le clan Tristemarbre est ancien et respecté, connu pour ses sépultures de marbre blanc et gris, sculptées dans les carrières profondes de Janderhoff.
Les leurs disent que « le marbre se souvient mieux que la chair »  et que c’est leur devoir d’offrir aux morts une demeure digne de leurs exploits.

Les Tristemarbre ont bâti leur réputation dans la partie basse de la cité, où les ossuaires nains plongent dans les entrailles des montagnes.
Mais avec le temps, ces tunnels sont devenus dangereux : des brèches ont révélé des catacombes thassiloniennes, pleines d’esprits tourmentés et de morts-vivants oubliés.
Alors, le clan a dû apprendre à protéger autant qu’à honorer les morts  forgeant un savoir rare mêlant foi, pierre et résistance à la corruption.

“La mort est un hôte que nous recevons avec respect… mais qu'il faut savoir quitter lorsqu'elle s'attarde trop.” Telle est la devise du clan Tristemarbre.

Drangor Tristemarbre est né entre la poussière des carrières et la froideur des cryptes.
Dès l’enfance, il maniait le burin avec la même vigueur qu’un marteau.
C'est lorsqu'une expédition de tailleurs tomba sur une galerie profanée par la magie thassilonienne que Drangor fut témoin de l’horreur : des statues brisées se reformant sous forme de spectres, des murmures d’outre-tombe dans le marbre.

Armé du marteau rituel de son clan, il frappa.
Ce jour-là, quelque chose répondit à sa colère : une flamme dorée, chaude et riante, brûla autour de lui.
C’était Trudd qui avait trouvé en ce jeune nain une âme assez vaillante pour affronter la mort en souriant.

Pour Drangor, Trudd n’est pas qu’un dieu de la force, c’est aussi celui qui refuse la peur.
Il enseigne que chaque coup de marteau, chaque rire partagé, est une prière plus forte que mille psaumes.
Drangor voit la foi comme une forge tant la douleur chauffe l'esprit et le combat durcit le corps dans le but de sculpter le courage.